Hull-o,
Mon "Papa-à-moi" ne pouvant consulter Internet, je lui ai envoyé un "best of" sur papier, accompagné de "légendes". Alors je me suis dit "Pourquoi ne pas les poster, avec les photos correspondantes?" Voici donc le lien vers les photos du "best of" suivi du texte des "légendes". Je suis en train de lui faire, avec beaucoup de retard, un "best of légendé" du Texas, que je posterai également. Ceux - et surtout celle - qui se plaignaient de ne pas avoir de légendes pour le Texas (j'avais commencé à en mettre, le logiciel a planté et je n'ai plus le courage de recommencer), en auront donc quelques-unes qui mettront le tout en contexte. En attendant...
Bonne lecture!
http://www.flickr.com/gp/11198385@N06/Q8uGS8
PS : le plus simple est peut-être d'imprimer ce message, puis d'aller voir les photos...------------------------------------
Bonjour,
Les photos numériques, sur Internet, étaient classées par thème. Cette sélection sur papier sera quant à elle chronologique.
Le lendemain de notre arrivée à San Andres, après la réunion d’information du matin, et parce que nous ne voulions pas faire notre première séance de bronzette sous le plein soleil de l’après-midi, nous avons décidé de faire un petit tour de l’île pour nous repérer par la suite.
Carnet I
Nous avons commencé notre tour par le centre, au sommet de l’île, juste derrière l’hôtel, à 200 mètres d’altitude (vous verrez le sommet plus tard, vu de la mer).
1. Du sommet donc, la mangrove, au milieu de laquelle se trouve notre hôtel (petit point blanc). Au large, les îlots (cays ou cayos) Acuario et Hayes, que vous découvrirez par la suite : nous y sommes allés souvent, car nous avions un bâteau-navette gratuit de notre hôtel.
2. Le lac de la mangrove, à côté de notre hôtel. Nous n’y sommes pas allés car c’est surtout infesté de moustiques…
3. La capitale de San Andres, au loin, qui rappelle un peu les villes de la Côte d’Azur dans les années 60-70.
4. Une maison traditionnelle de l’île, de style anglais, et non hispanique, car l’île a d’abord été colonisée par les Anglais.
Avec le « bracelet » de notre hôtel, nous avions accès aux 4 autres hôtels Decameron de l’île (plages, bars, restaurants), ainsi qu’à une plage privée, la plus belle de l’île, Rocky Cay, avec son restaurant et son bar privé (tout est « gratuit » avec les forfaits « tout inclus »).
5. La plage donc, où il vaut mieux avoir une « tente », un peu comme à Trouville, tellement le soleil tape fort.
6. Moi, sur la plage, avec, au fond le rocher qui a donné son nom à la plage, et l’épave d’un cargo qui s’y est échoué.
7. On peut aller au rocher et à l’épave à pied, en marchant sur un banc de sable (plus ou moins 50 cm de profondeur selon la marée), et voici donc une photo de la plage prise du rocher, où l’on voit bien le banc de sable.
8. Brigitte, « Miss Avril », revenant de sa promenade au rocher.
Petit retour à l’hôtel, plutôt petit (208 chambres) dans des petits bâtiments de 1 à 3 étages.
9. Vu du hall d’entrée : derrière les « pins », la piscine, et sur la gauche, notre bâtiment que vous verrez mieux plus tard.
10. La petite plage de l’hôtel, qu’il faut nettoyer tous les jours en raison de la proximité de la mangrove (beaucoup d’algues).
11. Le ponton-bar, où l’on prend l’apéro, et le digestif, avec un petit orchestre reggae-calypso très sympathique en soirée.
12. Les îlots d’Acuario et Hayes au large de la plage. Acuario n’est qu’un bout de récif sablonneux avec 2 – trois paillotes, et Hayes un îlot rocheux avec quelques palmiers. Les habitants y vont, comme à d’autres îlots que vous découvrirez par la suite, en bateau-taxi les fins de semaine, comme nous allons aux Bois de Boulogne ou de Vincennes.
Petite excursion en ville, où nous avons surtout « magasiné » des émeraudes, spécialité du pays, comme vous le savez…
13. Arrivés, par la navette gratuite (ou le taxi gratuit si la navette est pleine!) qui relie les hôtels, nous arrivons au Decameron Isleno, et découvrons le Malecon, c’est-à-dire la Croisette locale.
14. La plage du Malecon, pas trop peuplée, comme vous pouvez le constater, même si elle est au centre-ville. Au loin, l’îlot (Johnny Cay) que vous découvrirez plus tard.
15. À l’autre bout du Malecon, l’hôtel Decameron Aquarium, entièrement construit sur l’eau (même les logements), qui est le paradis des plongeurs et des véliplanchistes. Brigitte se rend au restaurant « Brujo », un excellent restaurant de fruits de mer que nous essayerons par la suite,
16. Le bar, très branché, trop branché… Finalement, nous préférerons l’ambiance plus familiale de notre Decameron Marazul.
Retour à notre hôtel, donc, le Decameron Marazul :
17. Le ponton-bar à l’heure de l’apéro. Il y a beaucoup de Libanais en Colombie (deux chaînes en arabe sur le câble, l’une colombienne, l’autre libanaise), et ils font une « aguardiente » à l’anis qui ressemble à l’arak. C’est très bon avec du lait de coco.
18. Moi, de retour de la plage, sur le balcon de la chambre, avec un t-shirt que Christophe m’a envoyé du Japon, parce qu’il trouvait que le héros de BD me ressemblait. Reste à trouver le chapeau...
19. Brigitte, sur le balcon, prête pour l’apéro!
20. Notre chambre, vue de la piscine, tôt le matin, en route pour le petit-déjeuner.
Le 14 avril…
21. Souper à la plage de Rocky Cay avec petit orchestre local (dont la « basse » est faite avec un manche à balai sur une bassine en métal et une seule corde). Bon, je ne souris pas trop, mais mon cocktail tardait à arriver… On a passé quand même une très bonne soirée!
Petite excursion aux îlots en face de l’hôtel :
22. L’hôtel, vu du bateau-navette. Au sommet de l’île, à côté des antennes, la vieille église baptiste.
23. Brigitte, « Miss Avril », sur la plage d’Acuario.
24. Moi, devant les paillotes d’Acuario, où l’on peut manger un casse-croûte ou boire un verre à l’ombre, rare sur cet îlot.
Changement de carnet… On passe au Carnet II :
1. Moi, sur le cordon de sable d’Acuario avec, au fond, le rocher de Hayes Cay et ses palmiers.
2. Moi, devant la « plus belle » paillote du coin, qui fait très décor de cinéma, je trouve.
Retour à l’hôtel pour les inévitables romantiques photos devant les réverbères du ponton-bar :
3. Brigitte devant la mangrove
4. Moi devant la plage.
Retour en ville, un soir avant d’aller au resto (photos sous-exposées…) :
5. Le Malecon dans le couchant.
Journée à Johnny Cay, le plus populaire des îlots :
6. La plage de Johnny Cay, avec, à l’horizon, la capitale, à 5 minutes de bateau-taxi.
7. Brigitte, « Miss Avril », dans les eaux turquoises, mais agitées, de la plage.
8. Pina colada dans une noix de coco, dans l’une des paillotes sous les palmiers.
9. Brigitte, elle ne boit que du lait de coco frais dans une noix tout juste cueillie.
10. Arrivée des bateaux-taxis de la capitale. Beaucoup de monde, mais une ambiance très sympathique.
Notre grande excursion, en « bateau de pêche au gros » (espadon), dans un petit archipel, Cayo Bolivar, à 18 km de San Andres. Trois minuscules îlots où l’on ne trouve qu’un petit poste de garde-côte et quelques cabanes de pêcheurs.
11. Préparation du départ, à la marina de San Andres.
Après avoir été « interpellés » par la garde-côte, qui voulait vérifier que nous n’étions pas des trafiquants de drogues, et après avoir vu des poissons volants (impossible à prendre en photo tellement ils volent vite!), nous arrivons :
12. Îlot en vue!
13. Débarquement de notre petit groupe, avec Brigitte au centre.
14. Moi, devant la plage, avec quelques barques de pêcheurs.
15. Après le déjeuner sous les branchages (poissons au feu de bois et patates à l’eau de mer), Johnny, notre guide, nous chante du Cabrel en espagnol! En fait, il connaît personnellement Cabrel par un ami colombien vivant en France.
16. Brigitte après le repas (j’ai bien mangé, j’ai bien bu, j’ai la peau du ventre bien tendue…)
17. Avant de repartir, j’ai pu monter au poste de pilotage, normalement réservé au capitaine et aux femmes (pour éviter le mal de mer en raison des odeurs de moteur en bas!). Les Colombiens disent que, à Cayo Bolivar, la mer peut avoir 7 couleurs! Les reconnaîtrez-vous toutes?
18. Même chose.
19. Même chose (+ Brigitte sous la casquette!).
Retour à Acuario, la plage « d’en face » de notre hôtel, car elle était vraiment belle :
20. À gauche, la plage et, à droite, dans le corail, l’« aquarium » naturel qui donne son nom à l’île. On peut y nourrir les poissons comme des pigeons (en plus sympas et en plus propres!). Un peu plus loin, on peut voir des requins, des barracudas et de raies en apnée, mais nous n’avons pas essayé (sans verre de contact, pas grand intérêt…)
21. Moi, au bout de la plage, qui disparaît complètement à marée haute.
22. Vue générale de l’île, avec l’hôtel, sur le bateau-navette du retour.
En route pour l’aéroport, prise du taxi (d’où les drôles de bandes pare-soleil) :
23. Circulation locale. Beaucoup de deux roues et, pour les touristes, des voitures de golf. Personne n’a de permis, mais la vitesse est limitée à 40 km/h, et, avec le trafic et l’état des routes, il est difficile d’aller plus vite!
Et voilà, c’est fini ! C’était vraiment notre meilleur séjour dans les Caraïbes, car San Andres est une petite île très sympathique et encore peu connue.
Prochaine destination : l’Islande! Cela sera très différent…
Gros becs du Québec!